Marjan et Raphaël, un couple de globe-trotteurs avertis, a au détour d’une escapade au Botswana, croisé la terre des Bushmen, le Kalahari. Deux chaises de camping posées sur la savane, l’esprit baigné de lumière, ils rêvent ici de lendemain !
Les questions se chevauchent, le projet est aléatoire mais l’envie est plus forte, ils succombent et décident de redonner à cette zone migratoire, sa faune d’antan et à son peuple, les moyens de la préserver. Ainsi en 2017, nait Feline Fields, un lodge de 6 suites, conçues par l’architecte Alwyn Petersen, certaines avec piscine, d’autres nichées dans le bush, toutes romantiques et intimes. Quelques originalités pour les bungalows avec piscine : une architecture en duplex très confortable pour les tribus avec enfants en bas âge, d’énormes day bed en rotin face au coucher de soleil et des baignoires en plein air pour une relaxation en fin de journée sur sa terrasse. Depuis sa création, une autre catégorie a vu le jour, une villa 2 chambres avec 2 salles de bain, idéale pour 2 couples voyageant ensemble ou même pour une famille avec adolescents. Grâce à de larges moustiquaires laissant passer la lumière et habillant la structure de bout en bout, cette maison offre une vue panoramique permanente sur le Kalahari et ses paysages infinis.
La philosophie est au slow safari sans horaires imposés. En plus des 4X4, des safaris à pied sont organisés avec les bushmen, maîtres des lieux. Des vélos de sable aux pneus XL et des chevaux sont également mis à disposition pour rayonner avec ou sans guide dans le bush traversé de léopards, éléphants, gnous, zèbres, hyènes et chiens sauvages ou de lycaons, espèce très rare… Enfin, une piscine de 25 mètres où les éléphants viennent inopinément s’abreuver, Spa, gym, terrain de tennis et practice de golf assurent des loisirs inédits dans ce petit bout d’Afrique !
Pour une expérience complète, Feline Fields suggère en milieu de séjour, 2 nuits à Khwai Mobile Camp, son camp de toile privé niché dans le Delta de l’Okavango, accessible directement en hélicoptère depuis le lodge. Là, dans un joli décor colonial, un safari à l’état sauvage prend tous ses droits et octroie parfois quelques sorties en mokoro.
